Matériel de plongée dont je ne me sers plus

Description du matériel de plongée dont je ne me sers plus:

une paire de palmes SMALL

 

 

 

une paire de gants Scuba M,  une paire de gants Subchandlers XS

 

 

une paire de bottillons  Scuba M

 

une ceinture à poches à grenaille ou plomb, small (95 cm)

 

une combi Mares 7mm taille 4, une combi Scuba

mesure du cou à la cheville

  Une combi Tribord XL (4mm ?)

 

une deuxième combi Scuba

 

une surveste avec cagoule Scuba

 

une surveste avec cagoule Mares 5mm taille 4

Mai 2023: voyage à Bonaire (Antilles néerlandaises)

Compte-rendu de notre voyage plongée à Bonaire, en mai 2023.

Pour ceux qui connaissent les Antilles françaises, le statut de Bonaire dans les Antilles néerlandaises, face au Venezuela, est assez différent.

Bonaire est une commune néerlandaise (qui dépend donc de la Hollande), ne fait pas partie de l’Union européenne, on y parle le néerlandais, l’anglais, et le papiamento, sorte de créole qui ne ressemble pas au créole.

Bonaire n’est pas dans l’espace Schengen, on roule à droite, les véhicules ont majoritairement des boîtes de vitesses manuelles, les limites de vitesses sont exprimées en km/h et les distances en km.

Par contre le réseau électrique est à 110 volts, les prises sont au format U.S, on paie en US dollars, le roaming data est impayable, et pour nous plongeurs, le volume des bouteilles de plongée est exprimé en pieds cubiques de gaz détendu et non en litres de gaz comprimé, les pressions se déclinent en psi et non en bar, les profondeurs en pieds et non en mètres, tandis que l’utilisation de détendeurs DIN requiert un adapatateur.

Sur cette île il n’y a que 2 “villes”: Kralendijk (la capitale) au centre et la petite Rincon plus au nord.

Enfin, vous ne trouverez pas de rivière, pas d’agriculture, donc pas de rejets polluants dans la mer, pas non plus de feux rouges ni de radars le long des routes…

Question tourisme, Bonaire c’est le paradis des plongeurs dans une eau à une température constante de 27°C, mais n’a pratiquement rien à offrir aux non plongeurs. L’aménagement des routes est assez peu favorable pour les piétons et pas du tout adapté pour les cyclistes.

Les non plongeurs peuvent s’adonner à d’autres sports nautiques, snorkeling, surf, kite-surf…

Enfin le nord de l’île est dévolu à une réserve naturelle (le Washington Slagbaai National Park). Vous y trouverez des étendues de cactus, et des lacs salés où les flamants roses vivent à l’état sauvage. Aussi bien dans la réserve qu’ailleurs, les ânes et les chèvres sont en liberté, et vous pouvez en croiser à tout moment sur votre route.

L’activité industrielle locale est la récolte du sel par évaporation dans des marais salants.

Toute l’eau potable de l’île est produite par une usine de dessalinisation.

On a loué des 4×4 “pick-up” chez AB Rent-a-Car, on a loué des bouteilles au forfait chez Dive Friends, et nous avons pris notre logement chez Ocean View Villas.

Toutes les plongées ont été faites à partir du bord: 27 plongées du 5 mai au 16 mai inclus.

Quelques liens de référence:
AB Car Rental
Dive Friends
Ocean View Villas (via Tripadvisor)
Taxe d’entrée sur le territoire
Redevance STINAPA pour toutes les activités nautiques dont la plongée
Carte des sites de plongée

Voici quelques photos que je rapporte de ce voyage.

J’ai décrit mon équipement photo ici: Sony RX100-IV, caisson Sony, un phare.

 

 

 

et pour finir… le Tarpon que personne d’entre nous ne risque d’oublier…

Windows 11, ScubaPro Galileo, IrDA, Infrarouge, Moschip-Asix 7780 = YES IT WORKS !

Bonjour,

Suite à la débâcle de mon précédent “jouet” (Microsoft Surface Pro 4 irréparable pour cause de batterie gonflée, voir mon article ici), j’ai fait l’acquisition d’un vrai petit laptop (Lenovo Thinkbook) dont la coque est fermée avec des vis et non de l’abominable colle partout.

Ceci nous éloigne un peu. Ce laptop est livré avec Windows 11. Le temps de faire quelques mises à jour, dont la copieuse 22H2, me voilà prêt à tenter de connecter mon ordi de plongée Scubapro Galileo Sol via le dongle infrarouge que je possède (et qui n’est plus fabriqué).

Voici comment j’ai procédé:

connecter le dongle, et voir au niveau du gestionnaire de périphériques (device manager) comment le périhpérique USB inconnu s’identifie.

La réponse est: “USB\VID_9710&PID_7780”

Une recherche sur “VID 9710 PID 7780” me ramène quelques résultats utiles. Il y a visiblement 2 versions du pilote qui circulent, la plus récente est datée de 07/01/2013 et porte le n° 1.3.2.0. Après contrôle de la cohérence entre les divers downloads, contrôle chez virustotal.com par sécurité, je vous livre ci-dessous celui que j’ai sélectionné.

Scubapro Lindy Galileo Infrared dongle MCS7780_Drivers

Juste dézipper. Ne rien exécuter.

Dans le Gestionnaire de Périphériques, “mettre à jour le pilote”, et localiser la version 64bit du pilote dans votre téléchargement dézippé.

Ceci termine la première partie.

Maintenant il faut aller dans Windows 11 et ajouter la fonctionnalité IrDA (“Optional Feature” en anglais).

Chez moi ça n’a pas encore fonctionné du premier coup. J’ai lancé la commande suivante dans une invite de commande en mode administrateur:

C:\Users>sc start MosIrUsb

SERVICE_NAME: MosIrUsb
TYPE : 1 KERNEL_DRIVER
STATE : 4 RUNNING
(STOPPABLE, NOT_PAUSABLE, IGNORES_SHUTDOWN)
WIN32_EXIT_CODE : 0 (0x0)
SERVICE_EXIT_CODE : 0 (0x0)
CHECKPOINT : 0x0
WAIT_HINT : 0x0
PID : 0
FLAGS :

J’ignore si c’est cette commande qui a tout fait réussir, mais le principal c’est que ça fonctionne.

A savoir aussi: le programme SmartTRAK de Scubapro demande les droits d’admin chaque fois qu’on le lance. Ceci peut être évité, en mettant ce programme en mode compatibilité Windows 7. L’exécutable SmartTRAK.exe  se trouve dans C:\Program Files (x86)\SmartTRAK . Voir et modifier ses propriétés pour indiquer le mode de compatibilité Windows 7.

Une alternative à SmartTRAK est le logiciel open source Subsurface

qui lit très bien l’ordinateur Galileo (choisir la marque Uwatec et non Scubapro)

Cependant, SmartTRAK reste nécessaire pour configurer les paramètres et alrmes, ou personnaliser votre ordinateur Galileo.

Appareil photo sous-marin – à quoi sert un dôme ?

Cet article détaille les propriétés du dôme que j’ai acheté pour mon équipement photo sous-marin, décrit dans cet article.

Il s’agit d’un dôme “premier prix” (140€), il ne faut pas s’attendre à quelque chose d’extraordinaire.

Voir (et donc faire des photos sous-marines) au travers d’un verre plat a un impact sur la vision, lorsque ce verre fait une séparation entre l’air et l’eau. Tout paraît 30% plus proche et plus grand. En outre lors du regard en oblique les couleurs sont légèrement séparées (effet prisme, réfraction). En photo cela se traduit par une dégradation sur les bords et dans les coins de votre cliché.

Le remède est une lentille sphérique pour que le point d’entrée de la lumière soit perpendiculaire à la séparation air/eau.

 

Mon dôme contient un verre plat sur sa face intérieure. Le volume entre le verre sphérique et le verre plat est étanche et rempli d’air. Le raccord au caisson est vissé sur une bague à filtre M67, et l’espace entre le verre plat du caisson et le verre plat du dôme est inondé d’eau.
(D’autres dômes se connectent de manière étanche sur le caisson)

L’interstice rempli d’eau n’a que peu d’impact sur la photo lorsque cette eau est limpide et sans bulles.

En présence d’impuretés, l’appareil aura tendance à régler son autofocus sur ces bulles ou ces impuretés (cliquez pour zoomer):

Rochefontaine, 23 juin 2022, Sony RX-100 IV, 1000 ISO, 1/100, f7.1

Quelques expérimentations en piscine ont permis de tirer les conclusions suivantes:

Avantages du dôme:

  • Suppression de l’aberration chromatique sur les bords due à la réfraction
  • Suppression de la déformation en coussin
  • Augmentation du champ de vision (de 30% environ)

Désavantages:

  • Eviter de laisser pénétrer de l’air dans l’espace entre le dôme et le caisson
  • Impossibilité de faire des photos réussies à la surface (mixte air/eau) pour deux raisons:
    • la mise au point sera différente dans l’air et dans l’eau, l’un sera donc flou
    • le niveau du liquide entre le dôme et le caisson est visible et ruine la photo
  • Le RX-100 IV n’est déjà pas fantastique pour la macro, mais avec le dôme on écraserait la bestiole avant d’avoir pu la photographier.
  • Les photos hors de l’eau seront à peu près toutes ratées : il y aura toujours une goutte ou un reflet sur une paroi du dôme, et l’appareil fera la mise au point sur ce défaut, plutôt que sur le sujet photographié.
  • Optique fragile et très exposée aux griffes.

Voici en images:

deux photos prises au même endroit sans changer les réglages de l’appareil, d’abord sans dôme, puis avec le dôme

Exercice “macro”, d’abord sans dôme, puis avec le dôme. Le dôme était contr la montre.

Essai air/eau, avec le dôme. La grosse ligne floue en haut de cette photo est le niveau de l’eau dans la jonction dôme/caisson. Si on laisse le niveau descendre, afin de le superposer à la ligne de surface à l’avant du dôme, la ligne de surface sera floue et la photo sera sans valeur.

Si la mise au point se fait dans l’eau, la partie “air” sera floue et vice-versa.

 

Appareil photo sous-marin

Post original le 19 janvier 2019. Modifié le 18 mai 2022. Modifié le 8 juin 2022.

Lors de mon précédent voyage de plongée, j’ai eu la mauvaise surprise de voir mon appareil photo noyé dans l’eau de mer qui s’est engouffrée dans le caisson.

R.I.P mon bon vieux Panasonic Lumix TZ10. Il m’a rendu de bons et loyaux services pendant 7 ans. J’ai beaucoup apprécié son zoom qui allait d’un super grand-angle à un super télé-objectif. je serais tenté de dire en équivalent 24×36 : 24mm à 600mm de focale.

En 7 ans de temps le marché a évolué.

Les appareils compacts de milieu à haut de gamme sont équipés de capteurs sensiblement plus grands. Les optiques des zooms doivent donc être plus longues dans une proportion égale. Ou bien on diminue la performance des zooms et on revient à des “petits zooms” comparables à des 28-80.

En outre les fabricants d’appareils photo semblent avoir cessé de produire des caissons étanches à un prix serré. Bien que… Sony est toujours présent.

Mon choix s’est porté sur la combinaison suivante:

  • Appareil photo Sony RX-100 IV
  • Batteries et chargeur supplémentaires
  • Caisson étanche Meikon
  • Phare
  • Batteries Li-ion et chargeur pour le phare

Voyons en détail et en photos

Appareil photo Sony RX-100 IV

Cet appareil avec un capteur de 1″ est sorti sur le marché en 2015 à un prix dépassant allègrement les 1000€. Je l’ai trouvé à un prix avoisinant les 600€. Le marchand se trouvant à l’autre bout du monde, j’ignore si je pourrais faire jouer la garantie en cas de pépin. Etant vendu en NTSC (surprise !) on peut le basculer en PAL, avec une contrainte: à chaque allumage un message vous le rappelle et il faut appuyer sur OK pour pouvoir utiliser l’appareil. D’après Sony c’est intentionnel pour protéger les marchés territoriaux. En grattant Youtube on trouve une application pour modifier quelques réglages non documentés, dont celui de ne plus afficher cette alerte.


Batteries et chargeur supplémentaires

L’appareil photo est fourni avec un petit chargeur à relier à l’appareil via un câble USB ; pendant la charge l’appareil n’est donc pas utilisable. Ceci ne m’arrange pas. J’ai donc acheté un petit chargeur séparé avec 2 batteries de rechange. Il faut le connecter à un USB 5V ce qui est commun aujourd’hui.

 

 

Caisson Meikon



Ici c’est un quitte ou double. Ce caisson d’origine chinoise certifié pour 40 mètres coûte le prix incroyable de 135 euros. L’avenir dira si j’aurai à le regretter. Toutes les commandes de l’appareil sont accessibles. La construction a l’air bien réalisée. Il y a deux orifices pour introduire des fibres optiques pour flashs externes.

[Edit mai 2022: ayant eu 2 fois une toute petite infiltration d’eau (eau douce heureusement), ce caisson va voler à la poubelle. J’avais dit “quitte ou double”, ce sera quitte. ]

Je le remplace par un authentique caisson Sony MPK-URX100A qui coûte le double, mais comme toujours, on n’en a que pour son argent.

[Edit 08 juin 2022] : Ajout d’un dôme

Voir (et donc faire des photos sous-marines) au travers d’un verre plat a un impact sur la vision, lorsque ce verre fait une séparation entre l’air et l’eau.

Le dôme que j’ai acheté se visse sur le filetage 67 mm du caisson, l’interstice entre le dôme et le caisson contient de l’eau.

Je fais une analyse plus détaillée dans cet article, photos à l’appui.

Phare

Encore un quitte ou double. J’ai acheté (en 2019) un phare qui a un air de ressemblance avec les produits Pro Mini de la marque BigBlue, Sauf qu’il a coûté 90€ et non 1000€ ou plus. J’ignore combien de lumens il fait, mais ça pète. Trois niveaux d’intensité de lumière blanche avec ajout optionnel de rouge ou de bleu. Un détail: pas de batteries, pas de chargeur, fixation avec boule de 1 pouce.

[Edit 08 juin 2022] : Ajout d’un deuxième phare et fixations supplémentaires.

 

A l’usage il apparaît que les phares sont trop lourds pour que les “boas” restent dans la position qui leur a été imposée. On va donc faire une pesée sur la balance de cuisine:

  • chaque phare avec ses batteries pèse 585 grammes
  • en plongeant un phare dans un récipient rempli à ras-bord: 310 grammes d’eau ont débordé
  • Différence (merci Archimède) par phare, il faut 275 grammes de flottaison pour être en équilibre.

En attendant mieux, je vais bricoler avec de la mousse polyethylène récupérée d’un emballage. Pour chaque phare, 5x5x11 cm=275 cm³. Ca va sûrement s’écraser, on verra à 40 mètres ce que ça donne…

 

Batteries Li-ion et chargeur pour le phare


Chaque phare nécessite 4 batteries Li-ion de modèle 18650. Ce modèle est assez standard. C’était l’occasion d’acquérir aussi un chargeur intelligent. Pour être certain que le pôle (+) de l’accu touche l’anneau de cuivre du phare, j’ai appliqué une petite goutte de soudure sur chaque accu. Les accus travaillent tous les 4 en parallèle, c’est une très bonne chose pour ne pas se retrouver en panne d’éclairage si un des accus est faiblard par rapport aux 3 autres.

 

Shopping list:

Appareil photo
https://www.cdiscount.com/photo-numerique/appareil-photo-numerique/sony-compact-dsc-rx100-iv-noir/f-1120135-son4548736017092.html
https://www.e-infin.com/eu/item/2650/sony_cyber-shot_dsc-rx100_iv_digital_camera 545€

Chargeur et 2 batteries pour Sony
https://www.amazon.fr/gp/product/B00XKVLXWU

Caisson chinois
https://www.cdiscount.com/photo-numerique/accessoires-photo/meikon-sy-16-40m-130ft-sous-marin-caisson-etanch/f-1121129-asa4969765547846.html 135€ (disqualifié, il prend l’eau)

Caisson Sony MPK-URX100A
Environ 300€

Dôme
https://www.aliexpress.com/item/32810991228.html 120€

Phare (en 2019)
https://www.amazon.de/gp/product/B075FNW6ZL 90€

Second phare (en 2022)
https://www.amazon.fr/gp/product/B08SW8KTBN 71€

Bras articulés
https://www.amazon.fr/gp/product/B01GU34IYE 35€ pièce

Il faut encore une platine (que j’avais déjà achetée précédemment) et des pinces pour tenir tout ça ensemble.

Batteries Li-ion x4 x2
https://www.amazon.fr/gp/product/B0176HVN0A 2x 13,40€

Chargeur intelligent
https://www.amazon.fr/gp/product/B078RLHB9T 30€

Plongées à Cavalaire (Côte d’Azur)

Une semaine en mai 2022

Logement en chambre d’hôtes (studio) à Gassin à un jet de pierre de St Tropez.

L’hébergement est désuèt, déco “style brocante” d’un autre âge, aucune place pour poser nos affaires, des bons vieux lits d’1m90 à la française.
Il se trouve dans une vaste pinède d’un hectare, contenant aussi la maison du propriétaire.

Mais on est là pour plonger, n’est-ce pas ?


Fin d’après-midi sur St Tropez


Lever de soleil sur St Tropez, vu depuis notre hébergement



Epave “Le Prophète” (33m)



Petit Sec (lieu-dit “dent de requin”), 19m



Epave “L’Espingole” (contre-torpilleur, 39m)



Roche Quairolles (31m)



Pointe des Vaisseaux (Port Cros, 37m)



Vidéo: mérou tranquille
La Gabinière, Port Cros (29m)


Epave “Le Togo” (58m) – Pas de photo, trop profond.



Epave: “Le Ramon” (22m)


Visitez l’Egypte depuis votre salon !

Nos amis du Nautile Evo viennent de partager cette superbe visite virtuelle des tombeaux de la Vallée des Rois.

Visitez l’Egypte depuis votre salon !

Les principaux sites historiques et touristiques égyptiens sont maintenant accessibles en visite virtuelle.

Tombeau de Ramses VI

KV 9 (King Valley) désigne le tombeau du pharaon Ramsès VI, situé dans l’allée principale de la vallée des rois, sur la rive occidentale du Nil face à Louxor.
Chaque pharaon a son propre programme décoratif, résultat de spéculations fondées sur les compositions existantes, et sans doute aussi d’un désir d’originalité. Selon les moyens et surtout le temps dont il dispose avant sa mort, ces décors sont plus ou moins élaborés. Certains se limitent à un seul livre religieux, d’autres présentent des synthèses très élaborées de cinq ou six compositions différentes. C’est le cas de la sépulture de Ramsès VI, une sépulture qu’il a réutilisée, pour des raisons qui restent encore mystérieuses, puisqu’à l’origine elle avait été construite pour Ramsès V.
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Bab Zuweila

L’une des dernières portes de la vieille ville du Caire. Elle date du 11eme siècle. Les deux minarets sont accessibles pour admirer une vue splendide sur le Caire islamique.
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Tombeau de Wahty

Découvert en 2018 ce tombeau de la 5eme dynastie est bien préservé. Les murs colorés montrent des scènes de fabrication de poteries et de vin, des offrandes religieuse, scènes de musique et de chasse.
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Mastaba de la reine Meresankh III

Alors que les pyramides et le Sphinx sont de loin les monuments les plus connus de Guiza, la zone abrite également une énorme nécropole privée, véritable petite ville, composée de mastabas ou de tombes rupestres appartenant à des dignitaires de la IVe dynastie. Hélas, très peu sont ouvertes à la visite, mais en ce mois de Mars 2012, le SCA annonce que la tombe de Meresankh III, fermée jusqu’à présent sauf à disposer d’une autorisation spéciale, va être ouverte au public. La tombe se trouve dans le cimetière de l’est, et présente un intérêt historique et artistique considérable, d’autant que c’est une des mieux préservées de tout le site.
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Tombeau de Bani Hassan

Le site de Beni Hassan, à 18 kilomètres au sud de Al-Minya, réunit sur la rive droite du Nil un ensemble de sépultures princières datant du Moyen Empire.
Parmi ces trente-neuf hypogées de l’immense nécropole creusées dans la falaise, douze présentent des décorations murales d’un grand intérêt qui évoquent des thèmes empruntés à la vie agricole et à l’artisanat. Ces décors, typiques du Moyen Empire, sont particulièrement remarquables dans le tombeau de Khnoumhotep II, nomarque de la XIIe dynastie ; on y observe ainsi une caravane d’Asiatiques, une récolte de figues et une chasse aux canards.
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Synagogue de Ben Ezra

La synagogue ben Ezra du Caire est la plus ancienne d’Égypte. Elle est unique par son mélange d’architecture chrétienne, d’arabesques islamiques, et d’ornements juifs. Elle est aussi particulièrement célèbre pour sa Guenizah (dépôt de textes usagés) qui contenait de très nombreux manuscrits d’importance historique considérable.
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Ecole Coranique du Sultan Barquq

Le complexe du sultan ez-Zahir Barqûq se trouve dans la rue el-Mu’izz li-Din Allah, à côté de la madrasa du sultan en-Nâsir Muhammad. Les travaux, qui durèrent de 1384 à 1386, furent dirigés par l’architecte en chef Shihab ed-Din Ahmad ibn Muhammad el-Tûlûnî, qui appartenait à une famille d’architectes de la cour. Le style de ce monument eut une influence durable sur l’architecture cairote de la première moitié du XVe s.
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Musée Copte

Le musée copte, fondé en 1910 par Marcus Hanna Simaïka Pacha (en) est le plus riche musée du monde en art copte grâce à une collection d’objets, de tissus, d’icônes et de manuscrits dont le cœur comprend des artéfacts produits entre le ive et le xxe siècle. Près de 16 000 pièces, disposées chronologiquement, sont exposées dans douze sections différentes. Le musée abrite la bibliothèque de Nag Hammadi, une collection de textes gnostiques de la période paléochrétienne, retrouvés en 1945, dont le plus célèbre est sans doute le seul exemplaire complet de l’Évangile selon Thomas.
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Tombeau de Mehu

Richement décorée et récemment restaurée, elle est considérée comme l’une des plus belles tombes de la nécropole. Ses murs comportent de nombreuses scènes illustrant la vie quotidienne à l’époque pharaonique y compris des scènes de pêche, de cuisine ou de danse. Autant de merveilles qu’il est donc désormais possible de contempler en se promenant virtuellement dans les couloirs de la structure.
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Croisière(s) plongée en Egypte – Oceanos – Nautile Evo – SIP Plongée Bruxelles

Je vais faire un très bref compte rendu sur les deux derniers voyages plongée en 2018 et 2019 en Mer Rouge, Egypte. Ces voyages ont été organisés par notre club SIP Plongée et en particulier Pierre qui en a pris l’intiative.

2018

Sur l’ Oceanos, croisière Sud. Très chouette croisière, excellent bateau, tous les souvenirs sont dans ma tête car j’ai noyé mon Lumix le deuxième jour (et pour retourner le couteau dans la plaie nous avons eu la visite d’un Longimanus alors que mon appareil barbotait dans son caisson) . J’ai terminé la semaine en faisant quelques films sympa avec ma Gopro3.

2019

Sur le Nautile Evo, nous étions 25 plongeurs pour une dizaine de membres d’équipage et 3 instructeurs. Le groupe étant auto-encadré les instructeurs étaient plutôt des guides / conseillers quand ils nous accompagnaient sous l’eau.

Sur cette croisière BDE (Brothers-Daedalus-Elphinstone), nous avons eu des prestations au top. La météo a été très calme et nous avons pu faire nos 16 plongées. Les marteaux se sont malheureusement fait désirer.

Je vous partage quelques photos (mais pas celles montrant les autres participants, RGPD oblige). Ce sont les premières photos en voyage plongée avec mon nouvel appareil Sony RX100 (voir ici).

Après le voyage j’ai pris l’initiative de collecter et redistribuer toutes les photos que les participants ont bien voulu partager. Méthode pour corriger les heures et mettre les dates et heures dans les noms de fichier: voir ici.

 

 

Les 12 enfants et leur coach emprisonnés par la montée des eaux dans la grotte en Thaïlande

Pour qui s’intéresse à la formidable aventure humaine autour du sauvetage réussi de ces 13 jeunes, voici quelques compte-rendus qui ne manquent pas d’intérêt.

Il faut savoir que les premiers plongeurs spéléologues anglais qui ont trouvé les enfants ont bénéficié d’une entraide internationale à ne pas minimiser. Un compatriote dont on n’a quasiment pas parlé, Ben Reymenants, a déroulé plusieurs centaines de mètres de fil à contre-courant dans un torrent d’eau boueuse, dans des tunnels inondés où se trouvent des embranchements.

Les documents ci-dessous sont tous en anglais. Les liens s’ouvrent dans un nouvel onglet.

Ben Reymenants dont l’action a peut-être été décisive https://www.vox.com/

John Volanthen s’exprime https://xray-mag.com/

Bon article du NY Times https://www.nytimes.com/

Bon article du Daily Mail http://www.dailymail.co.uk/

Richard Harris sur Facebook https://www.facebook.com/DoctorHarry/posts/10214384549599618

Conférence de presse https://xray-mag.com/

Grand public: Discovery DCODE avec sous-titres anglais en sept courtes parties: 1 2 3 4 5 6 7

Reportage complet, 42 minutes, en anglais sans sous-titres (via Facebook)

Vidéo “13 Lost” avec sous-titres en FR, 53 minutes. Youtube

25 septembre 2018, on apprend que les plongeurs ont secouru 4 personnes en plus ! https://darknessbelow.co.uk/

Compte-rendu complet par les Anglais: https://darknessbelow.co.uk (part 1 part 2)

[edit 29/12/2019:
articles de la BBC: compte-rendu complet, article sur Richard Harris, article sur Vernon Unsworth un an après l’incident, décès d’un deuxlième secouriste thaïlandais affecté par une bactérie]

[edit 09/12/2021: à propos des actes médicaux et anésthésies: ncbi.nlm.nih.gov  ]

[edit: article de Blue Label Diving (centre de plongée tek créé par Ben Reymenants]

[edit: Plusieurs livres sont sortis, dès 2018, en langue anglaise, par exemple :
The Boys in the Cave: Deep Inside the Impossible Rescue in Thailand, Matt Gutman, ISBN 9780062909916, 320 pp.,
Thirteen Lessons that Saved Thirteen Lives: The Thai Cave Rescue, John Volanthen, ISBN 9780711266094, 303 pp., publié en 2021]

Scubapro Galileo (Sol, Luna, Terra), SmartTrak, LogTrak, Infrarouge, Uwatec

J’ai commencé la plongée en 2000, et mon premier ordi de plongée était un Aladin Pro, un peu le standard du marché à l’époque où en dehors de Uwatec et Suunto, les rares autres fabricants étaient peu connus dans nos contrées.

Uwatec vendait fort cher un accessoire de connexion, la Memomouse, et j’avais fabriqué un interface série que voici, avec un ampli-op 741, une diode et une résistance.

Associé à cet interface, j’ai utilisé le logiciel Wlog.

J’ai changé d’ordi en optant vers l’Air-Z de la même marque, le logiciel fonctionnait tout aussi bien ; puis il n’y a plus eu de port série sur les PC, il a fallu bricoler ; il y a aussi eu les changements de pile comme celui relaté dans un précédent article.

Je me suis fait plaisir avec l’acquisition du modèle Galileo Sol. Celui-ci communique par infra-rouges ce qui en 2017 est un peu à contre-courant.

En fait c’est tellement exotique que Microsoft a supprimé le support de l’infrarouge dans Windows 10. Mauvaise surprise donc. Une des grosses mises à jour de W10 a réintroduit ce support.

Il faut aussi un adaptateur infra-rouge sur le PC. C’est aussi devenu quelque chose d’inexistant. On fait d’office appel à des adaptateurs USB (“dongle”).

Soit vous achetez celui de Scubapro, bien cher, soit vous faites votre petit marché parmi les autres marques… pour découvrir que quasiment plus personne n’en produit.

Donc si vous ne voulez pas payer 60€ pour un petit truc-bidule USB, dépêchez-vous. J’ai acheté celui de la marque Lindy et il fonctionne. Quelques références: Bechtle Lindy eBay

Quant à la partie software, c’est la jungle totale. Deux logiciels sont fournis: SmartTrak et LogTrak.

SmartTrak m’a l’air le plus abouti des deux, c’est plus convivial. Les logbooks sont enregistrés dans un format non documenté mais qui est une base de données Access avec un mot de passe facilement trouvable sur Internet. Malheureusement ce logiciel qui ne tourne que sous Windows est en cours d’abandon par Scuba. J’en tiens pour exemple le fichier Help qui est compatible avec Windows XP mais pas avec Windows 10, et que Scuba ne fournira pas dans une version rendue compatible.

LogTrak semble être écrit en Java et HSQLDB (un gestionnaire de base de données en mémoire), c’est donc portable sur d’autres plateformes que  Microsoft.
Je lui trouve beaucoup moins de fonctionnalités.
Il ne demande même pas où sauver ses logbooks, et quand on les trouve (dans c:\users\<user>\.jtrak) on ne trouve qu’un fatras d’ordres SQL qui constituent les logbooks ! Quel non-sens.

Subsurface semble être mon futur choix.

J’ai fait un compte-rendu dans plouf.be que je reproduis ci-dessous:

Je ne comprends pas la logique de Scuba avec ses logiciels.
SmartTrak est mieux foutu que LogTrak, à mon avis. (ST, LT dans la suite du texte)
J’ai eu un échange de mails avec le support Scuba (via les US !) parce que la fonction Help de SmartTrak ne fonctionne plus dans Windows10 : format de fichier Help obsolète.
Réponse: il n’est pas prévu de mise à jour. SmartTrak sera abandonné et il restera LogTrak.

J’ai un peu creusé le cambouis et
– les 2 programmes ont des formats de fichier tellement différents que j’imagine mal Scuba proposer une migration de l’un vers l’autre.
– ST utilise un format MS-Access avec un mot de passe que tu peux trouver partout sur internet.
– LT ne demande pas où stocker ses données. C’est boulet quand on a plusieurs PC ou bien qu’on squatte celui d’un ami sur le bateau. Elles paraissent se trouver dans C:\Users\(user)\.jtrak\DB_V4\jtrak.script On y trouve en format SQL toute l’information pouvant composer plusieurs logbooks. Ils semblent avoir utilisé HSQLDB sous Java (https://fr.wikipedia.org/wiki/HSQLDB)
– si vous avez un Galileo et que vous n’avez pas encore acquis un adaptateur infrarouge, dépêchez-vous de le faire. Ca devient rare sur le marché et les Chinois n’en fabriquent apparemment plus.

Concernant le fichier Help il faur récupérer winhlp32.exe d’un Windows XP et ouvrir le fichier help de Scuba.
En tout cas j’ai testé ST et LT il est hors de question que je continue à utiliser cette daube de LT.

Evidemment pour Scuba, c’est plus faciile à supporter, c’est entièrement écrit en Java et il faut un produit qui fonctionne aussi sur mac….

Sinon investigue du côté de divelog.de pour exporter toutes tes plongées ; et jette un oeil sur subsurface où Linus Torvalds a trempé (ses palmes)
Subsurface peut même réimporter ce que tu as mis sur ton compte divelog.de.
Dommage que Subsurface ne semble par lire le Galileo…
(Correction, tu dis à Subsurface que c’est un Aladin 2G par exemple, et comme l’IrDA est vu comme un port série, ça fonctionne !)